Raffaele les travaux 2/2 Pierre de Chardavon - Pompéi - Claude - Lac Fucin - Latium - Véies Bible - Médailles Papes Chronologie - Miserere d'Allegri
Raffaele
les travaux 2/2
Pierre de Chardavon - Pompéi - Claude - Lac Fucin - Latium - Véies
Bible - Médailles
Papes Chronologie - Miserere d'Allegri
- - La Pierre de Chardavon (Alpes Haute-Provence)
Sur quelques inscriptions, les mots sont séparés par des signes en forme de cœur.
On a prétendu que ces cœurs percés étaient un signe d'affliction et de douleur ; d'après cela le Père Papebroch a voulu regarder comme un monument païen
la pierre tumulaire qui couvrait le tombeau de Ste Argyris, parce que les mots qui composent son inscription sont séparés par des ornements, ainsi que l'a très bien
démontré Boldetti, et que le prouvent un grand nombre d'inscriptions rapportées par Reinesius, Fabretti, et par lui-même, sont communs aux inscriptions païennes
et aux inscriptions chrétiennes.
Le long de la petite route qui conduit de la vallée de la Durance au plateau de Chardavon, puis aux hauteurs du Dromon, est gravée sur la face d'un rocher
connu sous le nom de peira escricha , pierre écrite. une inscription antique, la plus considérable, la mieux conservée et une des plus précieuses que les Romains
ont laissées dans notre pays.
Elle rappelle la carrière et la générosité d'un très haut fonctionnaire, Claudius Postumus Dardanus, prêteur des Gaules en 412-413, qui après une longue carrière
civile, s'est retiré avec ses familiers dans ce coin reculé, où il avait une propriété au nom inspiré de l'ouvrage de saint Augustin, avec qui il était en correspondance :
locus cui nomen Theopoli est, "La Cité de Dieu".
Il avait doté ce domaine d'un accès viable en faisant élargir le passage, facilitant la communication de Théopolis avec la vallée de Segustero, d'une enceinte
et de portes "pour la sûreté de tous" et probablement d'une église. Il faut imaginer cette citée en amont de l'inscription, gravée au point le plus étroit
du défilé rocheux, sans doute sur le plateau de Chardavon.
Claudius Postumus Dardanus, patricien, ex-consulaire de la province viennoise, ex-prêteur des Gaules, et Nevia Galla son épouse, ayant fait couper les pans
de la montagne de chaque côté, ont procuré un chemin viable au lieu dont le nom est Théopolis, lieu qu'ils ont fortifié par des murs et des portes ; le travail,
fait dans leur propriété particulière et destiné à servir à la sécurité de tous, a été exécuté avec l'aide de Claudius Lepidus, compagnon et frère du sus-nommé.
- - Les ruines de Pompéi
Chez les anciens, chacun adoptoit une divinité familière ; les hommes avoient des génies, et les femmes des Junons. (Voyez Pline, lib. Il, cap. 4).
Le nom de cette déesse se voit dans plusieurs inscriptions avec cette attribution. (Voyez Fabretti, cap. II, 71, pag. 74).
Pompéi est un village de pêcheurs, au sud-ouest de Naples, sur une petite colline près d'un cours d'eau, le Sarno. Les Grecs s'y installent au VIIe siècle,
puis les Étrusques en 470, les Samnites vers 425, et la ville devient colonie romaine en 80. Dotée de nombreux monuments, résidence d'été de riches Romains,
elle est endommagée par un premier tremblement de terre en 62 ou 63 après J-C, et ensevelie sous les cendres du Vésuve le 24 août (ou novembre) 79,
en pleine reconstruction.
Exceptionnellement préservée sous la couche de lave et de pierres, cette cité antique de Campanie est un remarquable témoin de sept siècles d'histoire.
En 1748, à l'instigation du roi de Naples, les fouilles commencent. Elles révéleront la décoration d'édifices publics et demeures privées, l'abondance et la qualité
des fresques et mosaïques, l'urbanisme (murailles, îlots rectangulaires, forum, tribune, salle du conseil, basilique, marchés, statues, thermes, amphithéâtre,
villas ne dépassant pas deux étages), la vie quotidienne économique et sociale (vigne, artisanat, auberges, cabarets, lupanars, entreprises de transport).
La cité abritait environ 10 000 habitants sur 40 ha construits.
SAVANTES RECHERCHES SUR...
Le canal souterrain creusé sous le règne de Claude pour l'écoulement des eaux du lac Fucin
CLAUDE (Lyon 10 av JC - Rome 54) Empereur romain.
Chétif et laid, maladif, gauche et timide, de caractère faible, rejeté par sa famille ("une erreur de la nature, un être incomplet, seulement ébauché"
aux yeux de sa mère !), il se consacre aux études (littérature, grammaire...), encouragé par sa grand-mère.
Nommé Empereur par la garde prétorienne après l'assassinat de Caligula en 41, gauche, timide, indécis, il envahit la Grande -Bretagne en 43, annexe
une partie de la Palestine, contrôle le Royaume d'Arménie, franchit le Rhin en 51 et fonde la colonie d'Agrippine (Cologne), pacifie les rives du Danube.
Il centralise l'Administration, réforme la Justice, promulgue des lois humaines en faveur des petits et faibles (assimilation du meurtre de l'esclave à un homicide,
amélioration de la condition juridique de la mère de famille), assure la Police de Rome, règle le commerce des grains, étend le Droit de Cité, lance de grands travaux
d'urbanisme (deux nouveaux aqueducs, l'Aqua Claudia et l'Anio novus, travail énorme de 5 millions de sesterces, réfection-désensablement du port d'Ostie
aux embouchures du Tibre, avec deux immenses jetées lancées en pleine mer et éclairées d'un phare pour former une rade artificielle, lac Fucin asséché).
A l'intérieur, il noie dans le sang les conspirations et tentatives d'usurpation, d'où sa réputation de cruauté.
Mais il se laisse dominer par les femmes. Déjà été marié deux fois, quand il épouse la célèbre Messaline, femme sans pudeur qui pousse l'audace jusqu'à
épouser sous les yeux de son mari son amant, un noble romain. Claude la laisse assassiner par Narcisse. L'année suivante, en 49, il épouse sa nièce Agrippine
dont il adopte le fils, futur Néron.
Il meurt en 54, au cours d'une maladie, empoisonné par sa femme, par l'intermédiaire d'une empoisonneuse, Locuste, qui empoisonne un plat de champignons,
son mets favori.
Il a composé une Histoire des Carthaginois, une Histoire des Étrusques, une Apologie de Cicéron, ses Mémoires en latin ou grec.
LAC FUCIN
Situé dans le Lazio, au milieu des Apennins, le lac Fucin est sujet à d'extraordinaires crues menaçant 13 000 habitants répartis dans 13 villages.
Pour l'assécher, Claude fait couper la montagne et creuser un canal de 3 500 pas le reliant au fleuve Lyris : 11 ans de travaux de 41 à 52, 30 000 ouvriers.
Mais avant, il y organise un combat naval. Quand les combattants crient "Salut, Empereur, ceux qui vont mourir te saluent", il répond : "Peut-être !"
Après cette parole résonnant comme une grâce, plus personne ne voulant combattre, Claude se demande s'il les fait périr par le fer
ou le feu, se lève,
fait le tour du lac d'un pas chancelant et ridicule, tantôt menaçant, tantôt exhortant et les décide à combattre.
Deux flottes, l'une sicilienne, l'autre rhodienne, de douze trirèmes chacune (19 000 hommes), s'élancent l'une contre l'autre au son de la trompette
d'un triton d'argent surgi au milieu du lac.
L'Empereur, en brillant manteau militaire, et Agrippine en chlamyde tissue d'or, président au spectacle.
Les rives, les collines se remplissent d'une multitude venue des municipes les plus proches et de Rome même, poussée par la curiosité.
Mémoire sur la topographie du Latium
Le Latium, région historique d'Italie centrale, en bordure de la mer Tyrrhénienne, habité depuis le IIe millénaire par les Latins, subit la domination étrusque.
Pour lutter contre celle-ci, une trentaine de cités forment la Ligue latine. Au IVe siècle av. J.-C., Rome soumet le Latium et les habitants deviennent
citoyens romains.
Drainé par le Tibre au nord et le Garigliano au sud, cette région fascinante -qui s'ouvre dans un alignement nord-ouest sud-est de collines volcaniques
enserrant de magnifiques lacs de cratères (Bolsena), s'appuie à l'est sur les hauteurs calcaires de l'Apennin central (Terminillo 2213m) aux pentes éboulées,
et ourlée de lagunes, s'étire en plaine littorale marécageuse- offre une grande variété de paysages : vastes plages, grandes pinèdes, monts, collines douces
et plaines étendues, riche en monuments artistiques elle évoque une longue histoire extraordinaire.
Tarquinia, Cerveteri e Tuscania, des nécropoles et musées rappellent l'ancien peuple mystérieux des Étrusques (VII-VIe siècle av. J.-C.) qui a dominé
l'Italie centrale avant l'ascension de Rome dont les témoignages et ceux des époques successives sont nombreux dans les cinq provinces et chefs-lieux,
Rieti, Viterbe, Latina et Frosinone (parc national des Abruzzes) : la Villa Adriana splendide et somptueuse de Tivoli (où se trouve également la Villa d'Este
datant de la Renaissance), le Palais Barberini du XVIIe siècle de Palestrina et la Cathédrale d'Anagni.
Le caractère grandiose de la religiosité romaine s'y projete en dehors de Rome : Abbayes du Mont Cassin, de Casamari, de Fossanova et monastères de Subiaco,
lieux chers à Saint Benoît de Nursie.
Véies (vé-i)
Cité étrusque abandonnée après l'Antiquité, dans l'oubli jusqu'à sa redécouverte au XVIIe siècle par Raphaël Fabretti, se trouve près du petit village
d'Isola Farnese, à la frontière sud de l'Étrurie, dans la "campagne falisque", à 16 km au nord de Rome. Puissante cité étrusque, considérée comme la plus riche
des villes de la Ligue, réunion de douze cités étrusques en dodécapole, en guerres incessantes avec Rome pendant plus de quatre siècles, elle tombe aux mains
du général Camille en -396 après un siège de dix ans.
IXe s av. J.-C Âge du fer, premières traces, apparition de la civilisation étrusque
VIIIe s Inhumation entre des dalles de pierres formant un sarcophage rudimentaire. Urnes-cabanes en bronze laminé. Objets en bronze,
céramique d'impasto de formes grecques. Armes et boucles de ceinture décorées de motifs géométriques raffinés orientalisant. Maisons de pierre
VIIe-IVe s Guerres avec Rome (-396)
-390 Premier affrontement entre Celtes et Romains. -388 : Prise et sac de Rome par le Gaulois Brennus. Marcus Manlius Capitolinus,
alerté par les oies, sauve la citadelle du Capitole. Pressé par la famine, les Romains capitulent. Le tribun Sulpicius offre mille livres d'or à Brennus
en échange de son retrait. Les poids des Gaulois sont pipés, Sulpicius conteste, Brennus ajoute son épée sur la balance (Vae victis !)
- Vestiges des fondations du temple-sanctuaire de Portonaccio lié à la présence d'une source, à l'extérieur des murs de la ville, sur un replat dominant
un petit cours d'eau, bâti au VIe s av. J.-C.. La célèbre statue en terre cuite de l'Apollon de Véies, exposée au musée de la villa Giulia à Rome,
y a été découverte en 1916
- Tumuli et tombes, creusés dans la roche, notamment la grotte Campana, chambre funéraire découverte en 1843, qui révéla les premières fresques étrusques connues
- Tombe des canards (tomba delle anatre), découverte en 1958, remarquable par son ancienneté, -680/-670. Elle doit son nom à la fresque située sur la paroi
du fond de la chambre funéraire
- 31mai 2006 découverte à Grotta Gramiccia de la plus ancienne tombe étrusque peinte connue à ce jour, VIIe s -690/-680. Un corridor mène
à une pièce basse carrée qui présente sur ses murs deux niveaux de fresques murales, des oiseaux aquatiques ou migrateurs en partie supérieure
et des félins ou lions, gueule grande ouverte et attitude menaçante, en partie basse, d'où le surnom de tombe des lions rugissants. La tombe est certainement
celle d'un prince ou personnage de rang social élevé incinéré. Mobilier intéressant, céramiques, fibules, bijoux, épée et vestiges d'un char de guerre à deux roues
présentant des motifs décoratifs dans le couloir. De longs tunnels mènent jusqu'à un tertre de la ville
En 1997, la région du Latium a créé le Parc Naturel Régional de Véies, 15 000 ha de plateaux en tuf, canaux d'irrigation, pentes recouvertes de bois touffus,
éléments caractéristiques de la structure géomorphologique de l'Étrurie méridionale.
Lettre sur la Lex regia
Sonnets (ouvrages de Crescimbeni)
Observations sur l'âge du manuscrit de la Bible (bibliothèque des moines de Saint- Paul, à Rome)
On lui doit aussi :
Inscriptions latines sur des monuments de Rome
Légendes de médailles d'Innocent XI, Alexandre VIII et Innocent XII
Bibliographie
- "Vita di Raffaello Fabretti Urbinate" Giovanni Mario Crescimbeni (1663-1728) - 1708, d'après une oeuvre de l'Abbé urbinate Domenico Riviera
- L'abbé Marotti, dans Viine illustrium Italorum, d'Ange Fabroni
- Opere varie italiane e francesi - Ennio Quirino Visconti, raccolte e pubblicate per cura del Dottor Giovani Labus - MDCCCXXX
- Mario Luni
Raffaello Fabretti "Archeologo" Urbinate
Principe Della Romana Antichità
Urbino 2000 - Contributi di Franco Negroni - Editore Accademia Raffaello
Acclude la ristampa anastatica della "Vita di Raffaello Fabretti Urbinate", a cura di Domenico Riviera e Giovanni Mario Crescimbeni.
- Danilo Mazzoleni (a cura di), Raffaele Fabretti, archeologo ed erudito. Atti della Giornata di Studi, 24 Maggio 2003, Pontificio Istituto di Archeologia Cristiana,
Città del Vaticano, 2006, ISBN 8885991408
http://www.treccani.it/
LES PAPES - CHRONOLOGIE
Paul V 1605
1620 naissance de Raffaele
Grégoire XV 1621 1622 naissance d'Adrien Auzout
Urbain VIII 1623 naissance de Pascal
1626 naissance de Christine de Suède
1630 Miserere d'Allegri
1636 Raffaele passe son doctorat
1639 Basilique de Rome, Vendredi Saint, première du Miserere
1642 mort de Galilée
Innocent X 1644
1646 naissance de Leibniz - (Raffaele revient d'Espagne)
1650 mort de Descartes
1652 mort de Gregorio Allegri (°1582)
Alexandre VII 1655 arrivée de Christine à Rome
1656 épidémie de peste
1662 mort de Pascal
Clément IX 1667
1668 Adrien Auzout part en Italie
Clément X 1670
1674 création de l'Accademia Reale
Innocent XI 1676 Raffaele est vicaire
1680 De aquis...
1683 De Columna...
Alexandre VIII 1689 mort de Christine
1690 visite de Leibniz - collection d'inscriptions - création de la Société Arcadienne
Innocent XII 1691 Raffaele Préfet des Archives Secrètes du Vatican
1699 Inscriptionum... - mort d'Adrien Auzout
Clément XI 1700 mort de Raffaele
Le Miserere d'Allegri
Basilique de Rome, Vendredi Saint (crucifixion du Christ) 12 avril 1639. Office des Ténèbres. Urbain VIII et les cardinaux sont agenouillés.
La lecture des quatorze premiers psaumes de l'Ancien Testament débute, alors qu'une à une on éteint quatorze des quinze bougies d'un chandelier.
Lumière dans l'obscurité, éclairant seule l'office, la quinzième est le symbole du Christ dont la mort plongea les hommes dans les ténèbres. Elle est cachée
derrière l'autel alors qu'un chœur en deux parties (quatre et cinq voix) entame le Miserere de Gregorio Allegri (1582-1652) (concours remporté vers 1630).
Chaque partie précédée d'une monodie grégorienne, stile antiquo (a cappella "à la manière de la Chapelle", sans instruments interdits durant les Offices
des Ténèbres) (chœur sans accompagnement instrumental).
Soudain, le chœur frappe le sol à l'aide de chapelets pour reproduire un tremblement de terre qui chasse les derniers démons. Le cierge réapparaît,
silence total, la bougie est éteinte, le clergé se retire, les autres cierges sont rallumés.
Manuscrit jalousement gardé par le Vatican qui avait interdit de le transcrire, le jouer ailleurs qu'en ces lieux sous peine d'excommunication.
Nous sont parvenues une copie "light" pour l'Empereur d'Autriche, en 1770 une retranscription de mémoire par Mozart âgé de quatorze ans,
mais n'incluant pas les ornements baroques qui en faisaient la beauté, une copie d'après original, offerte à Napoléon, deux transcriptions, une en 1831
de Mendelssohn, l'autre en 1840 d'Alfieri. L'œuvre originale s'est perdue ?
"Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour, selon ta grande miséricorde, efface mon péché
Lave-moi tout entier de ma faute, purifie-moi de mon offense
Oui, je connais mon péché, ma faute est toujours devant moi
Contre Toi, et Toi seul, j'ai péché, ce qui est mal à tes yeux, je l'ai fait
Ainsi, Tu peux parler et montrer ta justice, être juge et montrer ta victoire
Moi, je suis né dans la faute, j'étais pécheur dès le sein de ma mère
Mais Tu veux au fond de moi la vérité ; dans le secret, Tu m'apprends la sagesse
Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur ; lave-moi et je serai blanc, plus que la neige
Fais que j'entende les chants et la fête : ils danseront, les os que Tu broyais
Détourne ta face de mes fautes, enlève tous mes péchés
Crée en moi un coeur pur, ô mon Dieu, renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit
Ne me chasse pas loin de ta face, ne me reprends pas ton Esprit Saint
Rends-moi la joie d'être sauvé ; que l'esprit généreux me soutienne
Aux pécheurs, j'enseignerai tes chemins ; vers toi, reviendront les égarés
Libère-moi du sang versé, Dieu, mon Dieu sauveur, et ma langue acclamera ta justice
Seigneur, ouvre mes lèvres, et ma bouche annoncera ta louange
Si j'offre un sacrifice, Tu n'en veux pas, Tu n'acceptes pas d'holocauste
Le sacrifice qui plaît à Dieu, c'est un esprit brisé ; Tu ne repousses pas, ô mon Dieu, un cœur brisé et broyé
Accorde à Sion le bonheur, relève les murs de Jérusalem
Alors Tu accepteras de justes sacrifices, oblations et holocaustes ; alors on offrira des taureaux sur ton autel"
LIENS
De Aquis...
http://www.iath.virginia.edu/rome/fabretti/index.htm
http://www.archive.org/stream/raphfabrettigasp00fabr#page/n5/mode/2up (consultation)
http://www.e-rara.ch/zut/content/titleinfo/1626461 (téléchargement)
De Columna...
http://www.uic.edu/depts/lib/projects/resources/_iasi/columna.html
http://books.google.fr/books?id=1zVEAAAAcAAJ&printsec=frontcover&dq=Columna+Traiani&hl=fr&sa=X&ei=MmiuUdTjGZSDhQfcs4DgBA&ved=0CCQQ6AEwAA#v=onepage&q=Columna%20Traiani&f=false (consultation)
https://archive.org/details/raphaelisfabrett00fabr (téléchargement)